released January 13, 2015
Réalisé par Benjamin Schoos pour 36 Cowboys / Freaksville Records ★ Édition : Freaksville Publishing / Team 4 Action.
Mixé et masterisé par Gilles Martin au studio Farside ★ Enregistré au studio Lovo par Christophe Loercke, au studio MPL par Jean-François Hustin, au studio SOS Recording par Jérôme Renard, au Freaksville Lab par Benjamin Schoos, au studio Fagophonic par Jérôme Danthinne ★ Editing par Maxime Wathieu et Benjamin Schoos au Studio 5.
Paroles : Jacques Duvall ★ Musiques : Benjamin Schoos
Benjamin Schoos : guitare électrique, guitare acoustique, mellotron, muted bass, percussions, harmonica ★ Jampur Fraize : guitare électrique ★ Philippe Corthouts : pedal steel ★ Raphaël Laforgia : banjo ★ Philippe Laurent : orgue et synthétiseurs ★ Isabelle Blais : choeurs - avec l’aimable autorisation des productions Virago ★ Sophie Galet : choeurs ★ Pascal Schyns : basse ★ Christophe Cerri : basse ★ Geoffroy Degand : batterie ★ Jérôme Danthinne : batterie.
Artfront : Pascal Braconnier pour Sauvage Sauvage.
Freaksville remercie avec la plus vive intensité, pour leur aide précieuse, Jacques Legrand, Team For Action, Lovo Films, Sauvage Sauvage.
[EN]
Jacques Duvall is not a mainstream star. With his singing skeleton looks (shaved skull, bony figure), he'll probably never be.
But aficionados are following him since his first efforts in the late seventies. Ranging from Velvet-like garage rock to louche cabaret, and including the occasional belgian country lament, Duvall's work manages to cross Townes Van Zandt's sense of desperation with Serge Gainsbourg's spicy humor.
In Benjamin Schoos (mean guitar player, inventive producer and Freaksville Records' label manager), Duvall found his alter ego and the demented duo wrote songs for cohorts of singing artists recently, including Chrissie Hynde, Laetitia Sadier, April March, Coralie Clément. Previously Duvall had penned the 1980 electro pop million seller "Banana Split" for Lio, also providing various nasty material for Jane Birkin, Sparks, The Runaways, Etienne Daho, Telex, Bijou.
[FR]
Jacques Duvall, notre loner national, est de retour ce 12 janvier 2015 avec "Je ne me prends plus pour Dieu", collection de 10 titres qui paraît sur Freaksville Records/Freaksville Music.
Pour ce septième opus au titre faussement biblique, le parolier chanteur a rencardé, au studio Freaksville, ceux qu'il appelle tendrement ses "experts en désespoir". Ce backing-band Freaksvillien, au fil des concerts et des enregistrements, est devenu en presque dix ans le véritable gardien du son Duvallien.
Teintées de guitares twang, de pedal steel et d'orgue hammond, les musiques de cet opus propulsent les mots et la voix de Jacques dans un univers country-rock. Si la plume de Duvall est toujours aussi acide et nerveuse (À cause de toi, Le moindre espoir, La vieille locomotive), les mots semblent apaisés, habillant avec autant de brio un storytelling toujours aussi captivant.
Quotes:
"C’est là toute la classe de Duvall : chanter la country en français sans donner dans le pastiche, glisser de l’humour sans sombrer dans la parodie, ne jamais se prendre au sérieux mais s’entourer de tauliers confirmés (Benjamin Schoos et toute l’équipe du label Freaksville). Ces morceaux ne visent guère plus loin que l’Europe septentrionale mais deviendront de solides compagnons de route. Où qu’elle mène. "http://www.magicrpm.com
"Parce que vous savez quoi ? Avec les petites chansons de Jacques Duvall, expert en désespoir, le monde est tout de suite un peu moins moche. Paradoxal ? Non peut-être !"
mad.lesoir.be
"il a pris le temps de publier Je ne me prends plus pour Dieu, album baigné dans une country (guitares twang, pedal steel et orgue hammond) qui sied bien à ce cow-boy solitaire à la voix grave. Le temps qui passe, la solitude, les amours déchus et la déprime restent ses thématiques préférées. Un bel album."
www.lavenir.net
"A travers ses chansons, l'artiste vous raconte des histoires d'amour compliquées et vous fait des confessions à vous tirer quelques larmes."
www.nostalgie.be
"Les chansons de Jacques Duvall flinguent les bons sentiments. Elles sont cruelles et tellement jouissives. Pourquoi broyer du noir s’il ne reste aucun espoir ? Peut-être tout simplement parce que c’est divertissant !"
www.idolesmag.com
"Bien sûr la grammaire Duvallienne n'a plus vraiment de secret mais on reste pourtant épaté par sa capacité à dégoter encore et toujours la tournure qui fait mouche" Focus Vif
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Catalog number : FRVM60
Catalog number Vinyl : FRVR49
Catalog number CD : FRVR50
℗ Freaksville Records 2014
© Freaksville Publishing 2015
www.freaksvillerec.com